Un trio de développeurs montréalais a quitté de bons emplois chez des multinationales, pour fonder un tout petit studio de jeux vidéos.
Nombre d'employés? Trois. Et ils sont aussi actionnaires.
Il n'y a pas de quoi fouetter un chat dites-vous? Au contraire, j'y vois là une nouvelle profondément positive qui porte -- en tant que phénomène d'essaimage -- un potentiel de développement économique plus grand que nature.